HT :
TVA :
TTC :

mercredi 22 septembre 2021Filière

Projet Recharge : quel bilan pour Mustela ?

Projet Recharge : quel bilan pour Mustela ?

En 2020, la marque de soins dédiés aux tout-petits a décidé de lancer une première phase d’expérimentation en proposant aux consommateurs d’acheter une bouteille en verre consignée et de la remplir en pharmacie. Un an plus tard, le projet s’est étendu. L’occasion pour Mustela de s’entretenir avec la presse et de faire un point d’étape dans cette transition vers la vente en vrac.

Temps de lecture
~ 3 minutes

Il y a un an, la marque du groupe Expanscience a testé le concept de la distribution rechargeable dans deux officines pilotes, l’une à Paris, l’autre à Mûrs-Érigné. Ce choix s’explique par une volonté de faire un meilleur maillage des habitudes consommateurs et de ne pas tout centraliser à Paris. Deux références étaient disponibles : le Gel Lavant Doux et le Gel Lavant certifié Bio.

En marge de ces premiers essais en direct, les équipes Mustela ont continué de travailler en interne afin de voir si le système de recharge était une vraie bonne idée. “Notre objectif était de mesurer précisément si ce nouveau système de distribution avait un véritable intérêt environnemental par rapport à l’offre jetable”, commente la marque.

L’analyse du cycle de vie

Avant de déployer cette offre à plus grande échelle, Mustela s’est appuyée sur l’expertise de la Coopérative Mu, une agence spécialisée dans l’écoconception. L’analyse du cycle de vie a été menée selon une méthodologie qui respecte la norme ISO 14140.
“Nous avons collecté l’ensemble des données sur le soin, son cycle de vie, la provenance des matières premières et leurs conditions de production, la fabrication, le transport, l’utilisation chez le consommateur final, le recyclage”, commente …

Ce contenu n'est disponible que pour les abonnésPREMIUM, PRO, STARTUP et TPE

Vous êtes déjà abonné(e) ?Identifiez-vous

Découvrir nos abonnements

Demandez un devis maintenant !

FilièreAutres articles