Dans ce groupe de travail présidé par Pierre Chambu, Chef du Service de la protection des consommateurs et de la régulation des marchés à la DGCCRF, aux côtés de spécialistes de l’alimentaire, quelques noms bien connus du secteur cosmétique, comme Catherine Argoyti, de la DGCCRF, et Xavier Guéant, de la FEBEA.

“Les consommateurs manifestent de nouvelles attentes en termes de transparence concernant les informations sur les produits alimentaires et cosmétiques. Ils souhaitent également, pour certains, disposer très rapidement d’informations précises sur les produits en fonction de différents critères, dont en priorité la santé, pour orienter leurs achats”, explique en préambule le texte de ce groupe de travail.
“Dans ce contexte se sont développées, sur la période récente, des applications numériques relatives à la qualité de ces produits. Leur rôle est susceptible de s’accroître avec la numérisation de l’économie et l’évolution du comportement des consommateurs. Dès lors que, directement ou indirectement, ces nouvelles pratiques peuvent orienter ou contribuer à orienter les consommateurs dans leurs choix, il convenait de mener une réflexion sur leur fonctionnement global afin de veiller à ce qu’elles apportent toute la transparence et la fiabilité requises pour une information loyale des consommateurs”.

À l’issue de ces travaux, six …