Fin du collagène d’origine animale (marin ou bovin) ? Peut-être pas, mais il n’a plus bonne presse ! La tendance est d’utiliser un collagène d’origine végétale et bien sûr végan, tout aussi combleur de rides et restructurant. Cet actif majeur dans la lutte contre le vieillissement cutané a la faveur des marques en ce moment.
Jouant un rôle clé dans la jeunesse des tissus, cette protéine structurale principale de la peau représente plus de 70 % du derme.
Lorsque tout fonctionne normalement, le corps possède des machines cellulaires productrices de collagène (les fibroblastes) qui synthétisent du nouveau collagène. Mais avec l’âge, le mécanisme s’essouffle.
À partir de 30 ans, la perte est d’environ 1 % par an (selon les Laboratoires Vichy). La production de collagène étant intimement liée à celle des œstrogènes, les signes de l’âge s’intensifient : apparition des rides, perte d’élasticité, de fermeté et de souplesse de la peau.
Certains facteurs inhibent la production de collagène comme le tabagisme ou les rayons UVA qui, en pénétrant profondément dans le derme, endommagent les fibres, ou encore l’excès de sucre et d’alcool qui, en augmentant le taux de glycation, viennent rigidifier et casser les fibres de collagène. Il n’existe pas un collagène mais près d’une trentaine de collagènes différents qui ont chacun leurs fonctions.
La recherche Vichy a identifié cinq types de collagène impliqués dans le vieillissement cutané, la perte de fermeté, l’apparition des rides et le relâchement.
Une nouvelle génération de collagène végétal
Après le succès du collagène naturel et végan en compléments alimentaires …