D’un côté une taie d’oreiller en fibre de soie de mûrier (dans une densité et un grammage précis, empruntés aux techniques de tissage traditionnelles des soyeux lyonnais), de l’autre des brumes de soin aromatiques aux protéines de soie qui boostent la régénération de la peau et apaisent l’esprit. Le “soin de soie” est né, on le doit à Benu Blanc.
Tout est parti d’un constat scientifique et d’une idée chère au Dr Gérard Redziniak : la peau est un organe multi-sensoriel. Ses capteurs voient, entendent, sentent, ressentent, goûtent…
D’où l’impulsion de départ : activer ces capteurs multi-sensoriels pour booster sa régénération, en recréant la force et la douceur du cocon de soie. Benu Blanc était né.
En réunissant les deux composants du cocon de soie, la fibroïne et la séricine, les brumes de soin créent un cocon moléculaire actif sur la peau tout au long de la nuit. Au moment où la brume est vaporisée sur la taie, la fibroïne et la séricine s’unissent de nouveau, en une vertueuse alliance. En outre, la séricine protège les molécules aromatiques (les brumes contiennent des huiles essentielles micro-dosées) et les libère progressivement. La micro-encapsulation prolonge les effets de ces actifs, tout en réduisant les risques d’allergie, ce qui l’autorise sur les peaux plus sensibles.
Cette technique a été brevetée. Les brumes sont indissociables de la taie d’oreiller qui a été conçue comme un soin cosmétique et non comme un textile. Elle n’est pas seulement un support pour les brumes, elle joue un rôle actif à part entière. Les capteurs sensitifs cutanés …