Le symposium Cosmetotest, dédié aux tests précliniques et cliniques de l’industrie dermocosmétique, se tiendra les 24 et 25 mai 2022, à l’ENS-Lyon. Organisé par Cosmet’iIn Lyon et SKINOBS, en partenariat avec la SFI2C et la DIIP et avec le soutien de la région AURA et du projet CosmeBooste, il s’adresse aux cosméticiens de France et du monde entier. Anne Charpentier, fondatrice de SKINOBS, explique la genèse de cet évènement et apporte un éclairage sur l’actualité de ce secteur d’activité encore méconnu, mais pourtant dynamique et agile. Un marqueur clé de l’industrie cosmétique.
Quelle est la genèse du symposium Cosmetotest ?
Anne Charpentier : Le CED, maintenant Cosmet’in Lyon, avait organisé à Lyon il y a quatre ou cinq ans deux journées dédiées aux tests in vitro et aux technologies du test. Ce furent des journées riches en innovation, marquées notamment par le début de l’impression de la peau en 3D. Il y a une légitimité de Lyon, par son histoire et de Cosmet’in Lyob, en tant qu’association savante et scientifique liée à la biologie du tissu cellulaire de la peau. Parallèlement, et depuis la création de SKINOBS en 2016 autour de l’objectivation clinique, le secteur du test et des technologies associées a évolué rapidement. Nous avons constaté une attente de la part de notre communauté d’être davantage et bien informée. L’idée d’organiser un salon avec des conférences académiques, des présentations techniques et des exposants présentait donc un véritable intérêt.
Quel accueil a été réservé à ce projet ?
Anne Charpentier : Nous avons aussitôt perçu l’attrait des acteurs de l’évaluation préclinique et clinique pour exposer et montrer leurs savoir-faire, dans un environnement présentant une convergence de besoins et d’attentes. Or, SKINOBS est à la croisée des chemins de ces acteurs, avec la …
