Il a remplacé Alain Grangé-Cabane à la tête de la FEBEA le 1er juillet 2014. Six mois plus tard, Patrick O'Quin a confié à L'Observatoire des Cosmétiques son "rapport d'étonnement", dressant un état des lieux de la Fédération et du secteur cosmétique. Une occasion également de lever le voile sur les missions qu'il s'est confiées, pour l'avenir proche comme plus lointain, et la façon dont il entend les mener à bien.
À l'occasion de la nouvelle année, le président de la Fédération des entreprises de la beauté a accordé une interview à L'Observatoire des Cosmétiques, sur la thématique "premier bilan et perspectives".
"À la FEBEA, je suis en CDI", commence-t-il. "Je n'ambitionne évidemment pas d'y égaler le record de longévité de mon prédécesseur (ndlr : Alain Grangé-Cabane est resté 16 ans à la tête de la Fédération), mais on m'a confié un mandat de longue durée".
Et Patrick O'Quin entend bien apporter sa vision prospective, à la Fédération comme au secteur cosmétique tout entier.
Le bilan
Plus qu'un premier bilan, Patrick O'Quin préfère livrer son rapport d'étonnement, établi après six mois d'observation. Et le moins qu'on puisse dire est que son enthousiasme n'est pas avare de superlatifs pour "énumérer les atouts du secteur".
La FEBEA
Patrick O'Quin : J'ai trouvé une équipe très compétente, motivée, dynamique, qui dispose aujourd'hui d'un vrai savoir-faire qu'elle a construit au fil des ans et qu'elle met au service des adhérents. Et leurs retours sont très positifs : ils ont une vision globale très favorable envers la Fédération.
Le secteur cosmétique
Patrick O'Quin : J'ai été positivement surpris par certains aspects …