Plus de neuf personnes sur dix vivent aujourd’hui dans une atmosphère polluée. La peau, mais aussi les cheveux et le cuir chevelu sont particulièrement exposés, notamment lors des déplacements urbains. Dans une web-conférence le 1er avril 2020 (date à laquelle aurait dû se tenir salon in-cosmetics Global, Marlène De Matos a présenté un aperçu de Urban’Hair, le nouvel actif de Berkem contre la pollution urbaine.
Si l’on en croit l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé), la pollution de l’air est le principal risque environnemental pour la santé humaine. Elle affecte toutes les tranches d’âge, tous les groupes socio-économiques, toutes les régions du monde, même si certaines, comme l’Inde, la Chine, la Russie… sont encore plus touchées que d’autres.
Certaines sources de pollution proviennent de la nature (comme le dioxyde de soufre issu des éruptions volcaniques), mais ce sont bien les activités humaines qui en génèrent le plus, et notamment les industries de la métallurgie, de la pétrochimie ou du charbon…
La pollution urbaine n’est pas un problème marginal, puisqu’aujourd’hui, 50 % de la population mondiale vit en ville, et qu’on estime que ce chiffre montera à 70 % d’ici 2050.
Bien sûr, la pandémie du coronavirus et le très fort ralentissement de l’économie qu’elle a provoquée a aussi eu pour effet de faire considérablement diminuer la pollution un peu partout dans le monde. Il serait pourtant difficile de considérer cela comme une solution pérenne et encore moins idéale au problème… Mais en temps ordinaire, la pollution est partout, dans l’atmosphère à l’extérieur comme dans l’intérieur les habitations et les lieux de travail, composée de nombreuses …
