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vendredi 15 mars 2013Publications

2 études sur le nano-zinc

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L’une est à classer dans le dossier à décharge, l’autre fera les bonheurs de l’accusation : le nano-zinc n’en finit pas de faire débat, et son procès continue de s’instruire au gré de la publication des études scientifiques menées à son sujet. Les deux dernières en date émanent, pour la première, d’un groupe de chercheurs australiens, et pour la deuxième, de scientifiques coréens.

Temps de lecture
~ 3 minutes

Effets de la formulation sur la pénétration, dans l’épiderme humain vivant, de nanoparticules d’oxyde de zinc, enrobées et non enrobées, in vivo.

Résumé

L’utilisation d’oxyde de zinc sous forme de nanoparticules (ZnO-NP) dans les produits solaires et dans d’autres produits cosmétiques a soulevé une certaine inquiétude pour la santé publique. Les deux points principaux sont l’importance de l’exposition au ZnO-NP, et l’éventuel risque suivant l’application de ZnO-NP dans les produits solaires et les cosmétiques sur le corps humain in vivo. Nos objectifs étaient d’établir l’exposition selon l’importance de la pénétration de ZnO-NP dans un épiderme vivant, et le risque en fonction des changements du potentiel redox de l’épiderme pour un certain nombre de produits appliqués localement. Nous nous sommes particulièrement intéressés au rôle de l’enrobage, de la formulation mise en œuvre et de la présence de tout renforçateur. La tomographie multiphotons a été utilisée en liaison avec l’imagerie microscopique à temps de vie de la fluorescence (MPT-FLIM), afin d’observer simultanément la pénétration de ZnO-NP et les variations du potentiel métabolique dans l’épiderme vivant de volontaires humains après l’application topique de divers produits à base de ZnO-NP. Le ZnO-NP, enrobé ou non, reste dans les couches supérieures du stratum corneum …

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