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mardi 28 janvier 2014Publications

Nano-zinc : pas de potentiel génotoxique

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Selon une étude de chercheurs sud-coréens, basée sur des tests in vitro et in vivo, les nanoparticules d’oxyde de zinc n’ont pas de potentiel génotoxique. L’étude a été publiée dans le journal scientifique Mutation Research/Genetic Toxicology and Environmental Mutagenesis.

Temps de lecture
~ 2 minutes

Résumé

Les nanotechnologies industrielles, en particulier celles qui utilisent l’oxyde de zinc (ZnO), se sont rapidement développées durant les dix dernières années, dans divers produits comme les cosmétiques, les aliments, le caoutchouc, les peintures et les plastiques.
Cependant, en dépit de l’augmentation de la population exposée au ZnO, son potentiel génotoxique n’a pas encore été clarifié. À ce jour, de nombreuses études se sont intéressées à ce sujet, mais les résultats en sont controversés.

L’effet biologique des nanoparticules peut être modifié par leurs propriétés physicochimiques et les méthodes d’évaluation. Ainsi, des substances chimiques dont les propriétés physico-chimiques sont clairement identifiables et des méthodes normalisées sont nécessairement requises pour l’évaluation de la génotoxicité des nanoparticules.

Dans cette étude, nous avons évalué la génotoxicité du ZnO en utilisant quatre types d’oxyde de zinc dont 20 nm charge (+), 20 nm charge (-), 70 nm charge (+), 70 nm charge (-). Quatre tests de génotoxicité différents (test de mutation bactérienne, test d’aberration chromosomique in vitro, test Single Cell Gel Electrophoresis assay in vivo et test micronoyau in vivo), ont été menés selon les lignes directrices de l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) concernant les bonnes pratiques de laboratoire (BPL). …

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