On commence à en parler de plus en plus dans les milieux professionnels. Et les consommateurs vont devoir le considérer prochainement avant d’acheter tous les produits de la vie quotidienne… dont font partie les cosmétiques. L’affichage environnemental des produits de grande consommation va devenir une réalité… même si celle-ci est encore bien floue pour nombre d’entre nous ! Qui tous pourtant, fabricants, distributeurs, consommateurs ou citoyens, avons plus qu’intérêt à nous y intéresser !
18 décembre 2009
La conférence de Copenhague sur le changement climatique n’a peut-être pas été à la hauteur des espérances de la planète, la problématique de l’impact des activités humaines sur son devenir n’en aura pas moins des traductions notables et bien concrètes dans notre vie quotidienne.
Comme à partir du 1er janvier 2011, avec cet affichage environnemental des produits et des services de grande consommation. Mais de quoi parle-t-on au juste ? Qu’est-ce que cela peut bien représenter ? Quels rapports a-t-il avec le bio ? Quels produits seront concernés ? Comment devrons-nous l’interpréter et que devrons-nous en faire ?
Pas simple en la matière de sortir des généralités et des bonnes intentions. Le "dossier" pourtant va bien au-delà. Il fallait un spécialiste pour nous aider à en tourner les pages, L’Observatoire des Cosmétiques s’est donc tourné vers Hervé Rebollo, Directeur des Affaires Économiques et Internationales à la
FEBEA
(Fédération des Entreprises de la Beauté), également secrétaire du Groupe de Travail national n°4 (GT4B) "Beauté" qui travaille à la mise en œuvre opérationnelle de l’affichage environnemental dans le secteur cosmétique.
Qu’est- ce que l’affichage environnemental ?
L’idée est née du Grenelle de 2007, qui s’est traduit par la loi …