Conspués par la presse consumériste, certains produits de protection solaire bio se sont retrouvés coiffés d’un bonnet d’âne. Accusés de ne pas protéger suffisamment la peau et de participer à la pollution des océans, leur cote de popularité a sérieusement chuté. Qu’à cela ne tienne, la marque Cattier vient de sortir sa première gamme de solaires bio et entend bien réchauffer la confiance des consommateurs les plus frileux.
C’est un comparatif de l’UFC Que Choisir, à l’été 2019, qui a mis le feu aux poudres.
La sécurité pour l’environnement et l’efficacité de plusieurs solaires bio ont été remises en cause. Certaines marques et Cosmébio sont donc montées au créneau pour se faire entendre et accuser l’UFC d’avoir testé des filtres minéraux selon un protocole non adapté.
Face à la grogne montante, le média a insisté sur la validité de ses tests et a pointé du doigt une certaine mauvaise foi de la partie adverse. Coup dur pour les solaires bio…
Protection solaire rime avec protection des mers
Il faut avoir à l’esprit qu’une crème solaire est une menace grandissante pour les océans.
Pendant une baignade de 20 minutes, 25 % de la crème solaire se libère dans la mer et se dépose sur les massifs coralliens.
Il est impératif de les maintenir en bonne santé, car ils assurent l’intégrité des fonds marins, mais sont également un rempart contre les phénomènes climatiques violents.
Le dioxyde de zinc et le dioxyde de titane sont les deux filtres minéraux autorisés par le référentiel COSMOS.
Cattier a fait le choix de se concentrer uniquement sur le dioxyde de titane. “L’oxyde de zinc, …