Respecter les bonnes bactéries et cibler les “mauvaises” responsables des odeurs désagréables, à l’aide d’un prébiotique d’origine végétale, c’est le principe mis en œuvre par Sanex pour renforcer l’efficacité de ses déodorants.
On le sait, au départ la sueur est inodore. Ce sont les bactéries présentes à la surface de la peau qui se nourrissent des composants de la sueur (acides gras, acides aminés soufrés, hormones…) et les transforment en déchets volatils et odorants.
Et encore, pas toutes, car “certaines bactéries ne donnent pas de mauvaise odeur à la sueur et d’autres si (le cas de Staphylococcus hominis et de Corynebacterium tuberculostearicum)”, explique le Docteur Marie-Estelle Roux, Docteur en Médecine, spécialisée en Dermatologie Esthétique et Médicale.
En agissant directement sur le microbiome de la peau, en nourrissant les bonnes bactéries et en combattant les mauvaises, les prébiotiques ont donc un vrai rôle à jouer dans les déodorants. “Il est important de ne pas déséquilibrer le microbiome de la peau et en particulier le microbiome des zones riches en glandes sudoripares, comme les aisselles, pour ne pas risquer de modifier ou favoriser les odeurs corporelles”, poursuit l’expert. C’est le cas du Butyloctanol prébiotique, un alcool gras extrait de la racine de pourpier, qui combat les bactéries responsables des odeurs.
Il est présent dans les nouveaux déodorants Sanex BiomeProtect (Dermo Déodorant Anti-irritation ou Hydrating Protection 48H, spray 200 ml sans …