Développée en mode intrapreneurial au sein du Groupe Shiseido, Ulé réinvente le futur du soin botanique. La marque adopte un mode de culture avant-gardiste issu d’une éco-ferme aux portes de Paris. Elle relève le pari d’associer “beauty tech” et “beauté naturelle” en créant ses propres extraits en circuit court.
Créée par Lindsay Azpitarte (anciennement responsable des marques prestiges soin du Groupe Shiseido pour la zone Europe), la start-up coche toutes les cases de l’écologie et du “cosmétiquement correct” : nouveau modèle d’agriculture urbaine en intérieur, formules vegan, cleans et traçables contenant au moins 96 % d’ingrédients d’origine naturelle, extrême fraîcheur botanique grâce à un circuit court local, écoconception avec des flacons en verre étiré pour réduire la masse de verre, bouchons en matériau biosourcé…
Cultivées sans pesticides dans un cocon idéal, les plantes (Tulsi, Centella asiatica et Coléus, pour l’instant) sont alimentées en eau chargée de nutriments par aéroponie verticale, puis transformées en extraits super-actifs.
Ce cercle vertueux est entretenu minutieusement chaque jour à l’abri des intempéries au travers de dix-neuf paramètres de surveillance.
Ainsi, à tout moment de l’année, la qualité et la quantité des plantes produites restent stables et conformes aux exigences de la marque.
Par ailleurs, cette éco-ferme est le seul moyen d’utiliser les plantes exotiques les plus puissantes, tout en conservant leur fraîcheur et donc leurs nutriments.
Cultivées à Saint-Nom-la-Bretêche, broyées à froid à Château-Renault et conditionnées à Orléans, les plantes parcourent seulement 340 kilomètres ! Énergie verte, consommation régulée d’eau qui tourne …
