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vendredi 15 février 2013Tech / Digital

Dans le plus simple appareil

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Très en vogue au Japon et aux États-Unis, la cosmétique instrumentale débarque dans l’Hexagone avec de nouvelles propositions, plus quotidiennes et performantes. Le marché français "décolle"… Une nouvelle tendance vue par Ariane Le Febvre.

Temps de lecture
~ 10 minutes

La cosmétique instrumentale, quésaco ?

Il s’agit d’outils cosmétiques – électriques le plus souvent – à utiliser chez soi. Inspirés par les méthodes professionnelles (celles que l’on trouve dans les cabinets des dermatologues ou des médecins esthétiques, parfois des spas ou instituts), on les appelle aussi "home devices" ou appareils de beauté (device en anglais signifie appareil).
Ces petites machines utilisent la vapeur, les ions, les ultrasons ou la lumière pulsée pour nettoyer la peau, la rajeunir, l’épiler, favoriser la pénétration des actifs cosmétiques, resserrer les pores, booster l’hydratation ou encore reproduire des gestuelles expertes.

Très présente en Asie et aux États-Unis, la cosmétique instrumentale demeurait un marché de niche en France (prix élevés, utilisation contraignante, résultats peu convaincants…). À l’exception du marché des épilateurs à lumière intense pulsée qui, selon Marc-Antoine Hennel, Directeur Marketing Philips Consumer Lifestyle, a été multiplié par 4 en trois ans (l’épilateur à lumière intense pulsée Luméa de Philips, leader de ce secteur, est tout de même à 499 €).

Mais les choses sont en train de changer. Avec l’arrivée de nouveaux acteurs, comme Clarisonic (Pacific Bioscience Laboratories, racheté par le groupe L’Oréal), Ioma, ou MTherapy, sans parler de Philips qui persévère plus que jamais …

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