En tant que laboratoire de développement sur mesure, Labosphère développe des produits à haute valeur ajoutée en conformité a minima avec la réglementation européenne en vigueur et selon le cahier des charges élaboré par le client. Et la tache n’est pas toujours simple, comme en témoigne Estelle Dehier.
2023 et 2024 sont (encore !) deux années charnières pour la réglementation cosmétique. De nouvelles réglementations sont publiées, d’autres sont en cours…
À quel moment décider d’enclencher le processus d’analyse de conformité à une nouvelle réglementation ? Comment faire cohabiter les réglementations entre elles ? Ce sont les questions angoissantes que nous nous posons au quotidien.
Il est de ma responsabilité en tant que Responsable des affaires réglementaires au sein de Labosphère d’assurer une veille permanente de la réglementation européenne et internationale et d’anticiper les demandes d’informations à nos fournisseurs de matières premières.
Mais être au fait de la réglementation c’est bien, mais savoir à quel moment “basculer”, c’est mieux !
Je vous partage ici par exemple ma problématique actuelle concernant la réglementation des allergènes cosmétiques. Nous savons tous que la réglementation concernant la liste étendue a été publiée cet été. Oui mais alors ?
Quid des projets que nous sommes en train de clôturer ? Quid des nouveaux projets ? Quid des logiciels informatiques utilisés pour éditer les documents réglementaires (formule, liste des ingrédients, etc…) ?
Quid également des clients ? Que répondre à : “Moi, je me limite aux 26 allergènes, dans 5 ans de toutes façons, j’aurai …