Par essence, les produits de beauté sont voués à être sentis, touchés et essayés avant l’achat. Pendant des années, les magasins physiques ont régné en maîtres sur l’industrie cosmétique… jusqu’à l’arrivée d’Internet. D’abord timide, ce nouveau canal s’est attiré les faveurs des consommatrices par ses nombreux aspects pratiques en dépit de l’impossibilité de tester les cosmétiques avant de passer commande. Pendant quelques années, ces deux canaux ont cohabité, tous deux répondants aux besoins différents des consommateurs.
En 2020, la crise du Covid-19 a durement impacté l’industrie de la beauté. Les parfumeries et autres circuits de distribution sélectifs ont été contraints de fermer leurs portes pour quelques mois. Le grand public a ainsi eu massivement recours à Internet pour continuer d’acheter des cosmétiques. Le ecommerce a dû s’adapter pour répondre au flux de commandes toujours plus fort, ainsi que pour proposer une expérience client aussi agréable qu’en physique.
De son côté, la distribution a également dû relever certains défis à la levée des restrictions sanitaires.
Comment inciter le consommateur à revenir en boutique ? Comment assurer la sécurité de la clientèle à l’heure d’une pandémie mondiale ? Comment dynamiser le parcours d’achat ?
Les auteurs
Diplômée de l’École Supérieure de Journalisme de Lille, Laurence Wittner est journaliste indépendante, spécialisée dans le domaine des cosmétiques. Cofondatrice de L’Observatoire des Cosmétiques, elle en est la rédactrice-en-chef de ses supports.
Diplômée de l’Institut Européen de Journalisme, Jasmine Salmi est journaliste spécialisée dans le domaine des cosmétiques. Elle a intégré la rédaction de L’Observatoire des Cosmétiques en 2016. Ses domaines de prédilection sont les tendances, l’écoresponsabilité et l’analyse du marché de la beauté.
Minibook 2022 “Les Rouages de la distribution cosmétique”, version française, édition de L’Observatoire des Cosmétiques (Août 2022), 59 pages (ISBN 978-24-93362-14-8), format PDF.
