Qu’il soit synthétique ou d’origine végétale, impossible d’échapper au rétinol cet automne ! Cet actif est omniprésent dans les nouveaux soins du visage anti-âge.
Un rétinol de synthèse mieux toléré et bien entouré !
En Corée, il est certifié soin thérapeutique antirides et les asiatiques sont pour beaucoup dans son succès phénoménal !
On le sait, c’est une molécule antirides de référence en dermatologie, plébiscitée pour son action anti-âge liée à la stimulation des collagènes notamment, mais elle peut s’avérer desséchante et irritante.
Tératogène, le rétinol, interdit sur les femmes enceintes, est cantonné à la nuit, s’utilise progressivement (deux fois par semaine la première semaine, un soir sur deux la deuxième, tous les soirs la troisième s’il est bien toléré) et si, selon Institut Esthederm, les dernières études ne démontrent pas de photosensibilisation, en réduisant l’épaisseur de la couche cornée, il augmente la sensibilité de la peau aux UV et impose le port d’un SPF 30 minimum le matin.
Avec la vitamine A, dont le rétinol est une des formes principales, seul un paramètre compte : la juste dose. En excès, elle peut provoquer des effets secondaires (échauffements, rougeurs, irritations, prurits, desquamations, risque de sensibiliser la peau…).
La vitamine A “excite” les récepteurs sensibles à la douleur (nocirécepteurs) comme le TRPV1, le récepteur qui se met en alerte en cas d’ingestion de… piment ! …