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vendredi 24 avril 2015Autorités

Brève - Quelques chiffres de la cosmétovigilance 2014

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Dans son bulletin "Vigilances" d'avril 2015, l'ANSM (Agence nationale des médicaments et produits de santé) dévoile quelques données de cosmétovigilance (sur la base des déclarations des effets indésirables dus aux produits cosmétiques) pour l'année 2014. sans toutefois en dire trop, ni dévoiler les chiffres français…

Temps de lecture
~ 2 minutes

Après avoir rappelé quels sont les effets indésirables dus aux produits cosmétiques qui doivent être déclarés aux autorités (les effets indésirables graves ou EIG, qui entraînent une incapacité fonctionnelle temporaire ou permanente, un handicap, une hospitalisation, des anomalies congénitales, un risque vital immédiat ou un décès), l'ANSM donne un court bilan de la cosmétovigilance européenne pour l'année 2014.
Le voici.

Données de 2014
La base de données européenne a réuni 266 EIG, enregistrés essentiellement en Allemagne, en France et au Royaume Uni qui, à eux trois, représentent 64 % des déclarations.
Le plus souvent, le déclarant initial est un consommateur qui informe le fabricant de l’incident qui le notifie à son tour à l’Autorité compétente. Le consommateur est à 90 % une consommatrice dans le cadre d’un usage personnel.
Les principaux produits concernés sont ceux destinés à la coloration capillaire et au soin de la peau. Les effets rapportés sont principalement des manifestations cutanées de type dermatite de contact ou dermatite allergique. Le critère de gravité qui classe l’effet indésirable en effet indésirable grave est l’incapacité dans 68 % des cas. L’imputabilité estimée par l’autorité compétente est similaire à celle de l’industriel dans 86 % des cas".

Pour aller plus …

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