Aujourd'hui, il s'agit plus d'un billet d'actualité que d'un billet d'humeur car je souhaite vous parler d’une question qui revient maintenant avec une certaine insistance et qui concerne la gestion du tissu adipeux. Ma première alerte sur ce sujet remonte à maintenant quelques années, au début des années 2000, si je me rappelle bien. Apparemment, ce concept est maintenant devenu une réalité.
Si je fais ce rappel, ce n’est pas pour me féliciter de la vista de mes observations, mais pour souligner la nécessité de gérer le temps . En effet, dans ce monde ou tout est devenu "immédiat" et TTU (très très urgent), il existe encore pas mal de choses pour lesquelles le temps est une composante incontournable.
Mais rappelons les faits en quelques phrases.
Après l’utilisation de quelques concepts un petit peu compliqués, comme la lipodystrophie [1] ou encore la reprogrammation d’adipocytes en myoblastes (un rêve plus qu’une réalité ? [2]), la stimulation de la NO synthétase [3], et au-delà l'utilisation traditionnelle et sempiternelle de la caféine et des différentes bases xanthiques associées, la formulation de produits amincissants, ou s'intéressant à la cellulite, reste une préoccupation permanente pour certains laboratoires. Pas que pour eux d'ailleurs, il suffit pour s'en convaincre de regarder les dossiers régulièrement publiés et les nombreux tests comparatifs sur ces familles de produits. La recherche de nouveaux modes d’action est une quête permanente.
Une nouvelle approche commence à s’imposer, la gestion colorimétrique du tissu adipeux. Au milieu de tout cela, le tissu adipeux brun. Pourquoi ce tissu adipeux brun est-il si intéressant ?
On sait depuis longtemps …