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vendredi 10 avril 2015Experts

Tous ou toutes au charbon

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Certains d'entre vous auront probablement remarqué que la tendance à la détoxification se généralise et que de nombreuses approches sont proposées dans ce sens. Certaines sont plus ou moins sérieuses, d'autres un peu plus anecdotiques. Parmi ces pratiques, une de ces tendances consiste à utiliser assez intensément du "charbon" pour de multiples applications.

Temps de lecture
~ 9 minutes

J'ai été récemment interrogé sur ce thème, ce qui m'a permis de refaire le point sur les utilisations de ce type d'ingrédient dans les produits cosmétiques, mais qui, dans le même temps, suscite ce billet d'humeur. En effet, cette pratique va fortement à l'encontre des problématiques de pureté assez souvent adressées au monde de la cosmétique et pose pas mal de problèmes.
Parallèlement, j'ai participé à un événement sur le rouge à lèvres où le principal reproche a porté sur la présence de traces infinitésimales d'éléments indésirables. Il y a donc là un problème de cohérence entre les pratiques courantes et les exigences émanant quelquefois des mêmes personnes.

Nouveau le charbon ? La réponse est bien évidemment non. L'utilisation de dérivés de charbon est très ancienne, en autres dans les produits de maquillage où le "noir de charbon" a été une substance classiquement utilisée. Les amateurs du "do it yourself" pourront s'exercer à la fabrication de cette substance en faisant brûler des matières organiques, par exemple une bougie ou une lampe à huile, et en récoltant la pellicule noire qui se forme progressivement sur une plaque de métal ou un miroir placé au-dessus.
Une autre forme de charbon, dit charbon …

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