La peau est soumise à plusieurs facteurs de stress qui contribuent à son altération. Pollution, UV, lumière bleue, autant d’éléments qui agressent l’épiderme au quotidien. Aujourd’hui, tous les pays sont concernés par ce type de pollution. L’agence de prospective Mintel a choisi de faire un focus sur l’Inde. L’objectif est d’aider les professionnels cosmétiques à appréhender le marché, et donc mieux répondre aux attentes des consommateurs.
Le segment des soins antipollution est porteur en Inde. Mais il faut avoir le bon angle d’approche.
Selon Mintel, une majorité d’Indiens boudent les écrans solaires à cause du Covid-19. La pandémie a largement démocratisé le télétravail : de ce fait, les citoyens sortent moins.
“Mais l’exposition aux UV n’est pas la seule source de pollution et les marques devraient se focaliser sur les agressions auxquelles les consommateurs peuvent être confrontés chez eux. Il est temps que les professionnels dépassent le positionnement habituel des SPF et adoptent une approche plus globale de la protection de la peau.”, commente Mintel.
La lumière bleue
C’est le nouvel ennemi contemporain et la pandémie lui a permis de gagner encore plus de terrain. La lumière bleue est émise par les ordinateurs et téléphones portables. En plus d’avoir des effets négatifs sur le sommeil, elle a des conséquences délétères sur la peau et accélère le vieillissement cutané.
La poussière
“Comme l’Inde est un pays tropical chaud où les pluies se limitent aux mois de mousson, la pollution et la poussière constituent un problème permanent. Cette poussière accumulée peut affecter la peau, la rendre sèche et irritée. Ce qui peut entraîner des poussées d’acné et des …