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mercredi 28 août 2019Tendances

Cosmétique en vrac : un marché qui monte

Cosmétique en vrac : un marché qui monte

Depuis quelques années, des distributeurs d’aliments secs fleurissent dans les supermarchés. Doucement mais sûrement, la cosmétique s’y met, dans un souci de lutte contre le gaspillage et de respect de l’environnement. Réseau Vrac, organisation professionnelle dédiée à la promotion de la vente en vrac en France, a donné quelques conseils aux industriels de la beauté intéressés par ce nouveau système de distribution.

Temps de lecture
~ 4 minutes

Ces derniers temps, le marché du vrac connaît une croissance exponentielle.
L’association Réseau Vrac, créée en 2016, est passée de 0 adhérents à 800 en l’espace de trois ans.
Poussés par des consommateurs toujours plus responsables, bon nombre d’industriels se tournent vers la vente en vrac.

Qu’est-ce que c’est exactement ?

Il s’agit de proposer des produits de grande consommation (alimentaires, cosmétiques et détergents) sans pré-emballage, conditionnés dans des équipements de vente. Ils sont ensuite vendus au consommateur dans des contenants individuels et réutilisables.
L’idée est de réussir à se passer du packaging jetable afin d’éviter le gaspillage des ressources.
“Le plastique à usage unique est vraiment dans notre ligne de mire”, explique Réseau Vrac. “Il faut donc trouver un moyen de se renouveler et la vente en vrac est une piste sérieuse d’amélioration”.

Le boom du vrac

Tout a commencé avec la vente d’épicerie sucrée (dans les cinémas, par exemple).
Le salé a suivi, et petit à petit, la cosmétique est entrée dans la danse.
Aujourd’hui, on compte pas moins de 200 commerces 100 % vrac en France. 80 % des enseignes bio proposent ce type de vente, contre 20 % dans la distribution classique. Mais ce n’est que …

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