Deuxième catégorie en termes de valeur : les colorations capillaires. Visiblement, et en dépit des contraintes financières, les consommateurs continuent à vouloir se teindre les cheveux. Mais ils utilisent davantage aujourd'hui les colorations à domicile.
En termes de volume, ce sont les après-shampooings qui occupent la deuxième place.
À la dernière place, les produits de permanentes et les défrisants, avec seulement 3,1 % et 2,8 % en valeur et en volume.
La catégorie devrait connaître une croissance en valeur supérieure à celle du secteur jusqu'en 2017, comme l'illustrent les taux de progression des après-shampooings et produits de coiffage, qui laissent à penser que les Français veulent toujours expérimenter des couleurs et des styles de coiffure différents.

Le secteur des soins capillaires français devrait connaître un taux de croissance annuel relativement faible, de l'ordre de 1,2 % jusqu'en 2017. La croissance en volume devrait se limiter à 1,1 %, principalement du fait de la crise de l'euro.
Mais toutes les catégories de ce secteur devraient afficher des progressions, tant en valeur qu'en volume, les consommateurs ayant toujours besoin de se laver les cheveux, de les coiffer et de les colorer.