Ces 3 et 4 novembre se tenait à Chartres le congrès "Parfums et Cosmétiques – Enjeux réglementaires" organisé par la Cosmetic Valley. Deux journées denses et riches au contenu assez austère (c’est le sujet qui veut ça !), égayées par la brillante intervention de Philippe Masson… où quand ce biologiste, toxicologue, cosmétologue, enseignant et PDG d’un laboratoire de recherches et d’expérimentations se penche sur sa boule de cristal, la nourrit de sa connaissance du monde cosmétique et dessine le portrait des produits de demain…
6 novembre 2009
On a beaucoup parlé durant ces
deux jours de congrès
de réglementation, de textes à venir et à appliquer, d’obligations (notamment celles que va imposer le
nouveau Règlement européen
ou le dispositif Reach aux acteurs de la filière), de contraintes, de surveillance du marché, d’évaluation de la sécurité, de contrôles, de responsabilité et de notifications, d’effets indésirables (qu’il s’agisse de la répertorier ou de les minimiser), du rôle des autorités compétentes, de la complexité de la mise en œuvre de certains points de la législation, du coût que cela représente pour les entreprises… bref, de tout ce qui fait (une partie) de l’envers du décor de la cosmétique, fait de passages administratifs obligés et strictement codifiés. Pas vraiment glamours, il faut bien le dire, mais néanmoins indispensables et garants de la bonne tenue du marché comme de la sécurité des consommateurs.
Dans ce cadre, l’intervention de Philippe Masson est apparue comme une légère bouffée d’air frais.
Car de quoi parlait-il ? D’avenir, de séduction, de bonne humeur et de bonheur… et de tout ce que cela avait à voir avec les cosmétiques ! Avec un postulat en forme de mantra : la cosmétique de demain sera celle …