Faire ses achats sur Internet est rentré dans les mœurs. Mais tout avoir (ou presque) à portée de clics n’est plus suffisant pour les consommateurs. L’agence de conseil Wunderman Thompson a interrogé près de 31 000 personnes habituées au commerce en ligne afin de mieux comprendre leurs attentes… et aider les industriels à y répondre. Voici les principaux enseignements qui ressortent de ce rapport.
L’e-commerce est loin d’être une tendance passagère. Actuellement, 58 % des dépenses des consommateurs se font en ligne (64 % d’ici une dizaine d’années).
De plus en plus de personnes franchissent le pas et désormais, 68 % des répondants se sentent plus à l’aise avec les outils technologiques.
L’augmentation des achats sur Internet est également corrélée au fait que plus de personnes travaillent de chez elles. 66 % des panélistes expliquent passer plus du temps sur le net à découvrir de nouvelles marques depuis qu’elles travaillent à domicile.
L’importance de l’omnicanalité
“60 % des acheteurs dans le monde préfèrent faire leurs courses auprès d’un détaillant ou d’une marque qui possède à la fois des boutiques numériques et physiques”, indique Wunderman Thompson. Même si 71 % des recherches avant de passer à l’acte d’achat se font sur Internet, beaucoup de personnes aiment se rendre en magasin afin de toucher, essayer ou juste faire du repérage.
L’ère du social selling
Le commerce sur les réseaux sociaux a de l’avenir. 67 % des acheteurs mondiaux expliquent avoir déjà effectué des commandes via des plateformes (en hausse de 2 % par rapport à l’année dernière).
53 % d’entre eux confient avoir l’intention de faire …
