Les imperfections cutanées recouvrent classiquement un vaste ensemble d’altérations visibles de la peau, engendrées par une variété de causes. Et aujourd’hui, le port du masque, qui se compte parfois en plusieurs heures par jour, devient un nouveau paramètre à prendre en considération dans leur évaluation. Classifier les allégations en lien avec les imperfections cutanées dans ce contexte est donc tout sauf simple ! L’éclairage d’Anne Charpentier, Fondatrice et CEO de Skinobs.
Les imperfections cutanées recouvrent un vaste ensemble d’altérations visibles de la peau, dont les causes varient en fonction de l’âge, du type de peau, de l’ethnie et des troubles associés, du style de vie, du stress, de l’équilibre hormonal, de l’hérédité ou de l’exposome. La liste est longue et comprend : l’acné, les points noirs ou comédons, les cicatrices engendrées par ces phénomènes d’acné, la taille des pores, l’hyperpigmentation, les tâches de senescence, les taches blanches, les dartres, l’eczéma, la couperose, la cellulite, les vergetures…
En fonction de leur sévérité, ces imperfections peuvent avoir des répercussions importantes sur le bien-être des hommes et des femmes, modifiant leur image et interférant dans la relation aux autres.
Les causes sont reliées à chaque symptôme et souvent multifactorielles pour chacun d’eux, mettant en perspective l’équilibre interne et la capacité de la peau à se protéger d’un environnement plus ou moins agressif.
Le port du masque, qui se compte parfois en plusieurs heures par jour, devient un nouveau paramètre à prendre en considération dans l’évaluation des imperfections cutanées. Le changement de l’écosystème de la peau est important et peut s’apparenter à un phénomène de pollution provoqué par le développement des bactéries, le frottement du …
