La relance, c’est maintenant. Et quoi de mieux que de partir à la conquête de nouvelles zones d’implantation ? Dans le cadre de son programme d’aide aux entreprises pour booster leur économie, Business France a listé tous les pays les plus susceptibles de céder aux charmes de la beauté française. Le Japon est l’un d’eux.
Avec un panier moyen de 287,4 euros par an et par habitant, on peut considérer que le secteur cosmétique est assez important au Japon. La taille du marché est estimée à 22,1 milliards d’euros en 2018 (+4,1 %), ce qui le classe en troisième position derrière les États-Unis et la Chine.
Les produits pour la peau et de maquillage accaparent plus des deux tiers du marché (respectivement 47,3 % et 22,4 %). Les capillaires en représentent également une part importante (17,1 %). Les soins biologiques et naturels ne sont pas en reste. À eux seuls, ils pèsent 1,28 milliard d’euros.
“Globalement, on peut s’attendre une croissance de 3,4 % en 2020 pour atteindre 23 milliards d’euros en 2021. La progression du nombre de touristes avec des événements tels que les Jeux olympiques contribuent aux ventes de produits cosmétiques”, explique Business France.
Les tendances
Avant tout, les Japonaises sont à la recherche d’efficacité. Pour les séduire, il faut donc miser sur des produits dont les bénéfices ont été prouvés scientifiquement.
Comme dit précédemment, les allégations naturelles connaissent une véritable explosion.
Caractéristiques du marché
À l’heure actuelle, 64 % des cosmétiques au Japon sont fabriqués sur le territoire. On peut observer une …