À l’heure de s’engager dans sa transition écologique, et de vouloir le faire certifier par un organisme indépendant, il n’est pas toujours simple de choisir vers quel référentiel se tourner. Lors de la JEST (Journée d’Échanges Scientifiques et Techniques) organisée par Cosmed le 24 septembre 2021, Céline Ramier, de Cellande, forte de son expérience avec deux d’entre eux, est venue les présenter, avec leurs avantages et leurs inconvénients.
Cellande est une entreprise française de fabrication et de conditionnement de produits cosmétiques, avec pour cœur de métier l’hygiène des mains en atelier, les détergents écologiques et biocides.
Elle a aujourd’hui, d’une part, quatre de ses formules certifiées selon le référentiel EC426 de l’Écolabel européen, et d’autre part, six produits capillaires et deux produits bucco-dentaires en sous-traitance certifiés labelisés COSMOS.
Lors de cette présentation, le propos de Céline Ramier n’était pas dire si un référentiel était préférable à l’autre, mais bien de donner les clés pour choisir l’un ou l’autre, de détailler comment elle les gérait au quotidien, pour que chacun puisse choisir celui qui paraît au plus proche de son marché et/ou de ses exigences en termes de formulation.
La certification : les plus et les moins
Quels avantages attendre d’une certification ? Céline Ramier en a cité plusieurs :
• les garanties pour le consommateur qui cherche un produit “vert” et qui est rassuré par le fait qu’un organisme externe se porte garant du respect de règles mises en place pour assurer le caractère écologique du produit qu’il achète ;
• la clarté, toujours pour le consommateur, qui sait que les mêmes règles s’appliquent à tous les produits …
