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lundi 21 septembre 2020Covid

Quand le coronavirus contrarie les jeunes marques

Quand le coronavirus contrarie les jeunes marques

Quand on fonde sa propre société, on prévoit beaucoup de choses, on anticipe certains risques, mais on ne pense pas forcément qu’une pandémie internationale va venir contrarier nos plans. Pourtant, le Covid-19 a retardé le lancement de plusieurs marques. À l’occasion d’une rencontre organisée par le CEW, plusieurs créatrices ont pu partager leur expérience et expliquer comment elles ont rebondi face à cette situation exceptionnelle.

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Elles sont cinq (deux binômes et une créatrice seule, NDLR) à se tenir devant une assemblée masquée, respectant la distanciation, mais curieuse de savoir comment elles ont vécu le début de la crise du Covid-19, en tant que jeunes entrepreneuses.

Ce sont les fondatrices de Pomponne qui prennent la parole en premier. Charline Robert et Agathe Ettori Chadelas sont toutes deux docteures en pharmacie et se sont rencontrées il y a cinq ans chez Garancia. Elles ont un coup de foudre professionnel et finissent par créer leur propre entreprise.
Elles inventent Pomponne, une marque de maquillage green, clean, vegane, écoresponsable et qui offre un bénéfice “soin”.
Afin de répondre au mieux aux besoins de leurs consommatrices, elles ouvrent un compte Instagram. “C’était pour nous la manière la plus évidente d’être en contact avec nos utilisatrices et de co-imaginer avec elles des produits qui leur conviennent. Nos Pomponnettes font partie à 100 % du processus de création”.
Le projet est lancé et la campagne de financement sur le site Ulule doit commencer le 20 mars, avec une gamme de sept rouges à lèvres.
À ce moment précis, la France entame son quatrième jour de confinement.
“Au départ, nous étions perdues. On …

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