La gestion de la confidentialité au sein d’une entreprise est un point fondamental. L’industrie cosmétique est un domaine où l’innovation est grande, la concurrence importante et les enjeux économiques colossaux. Cette problématique majeure se retrouve à plusieurs niveaux. Il est donc important de la sécuriser. L’éclairage d’Estelle Dehier, de Labosphère.
En tant que laboratoire de recherche et développement indépendant, travaillant sur des cahiers des charges pour tout type de client, la confidentialité fait partie de notre quotidien.
Dans le but de favoriser les échanges avec nos différents partenaires, le premier document que nous remplissons est l’accord de confidentialité réciproque.
Voici un petit tour non exhaustif des problématiques liées à la confidentialité.
Le Code des Affaires
En fonction de la typologie du partenaire avec qui nous sommes liés, nous pouvons proposer notre modèle d’accord de confidentialité ou se le voir “imposé” par celui-ci. L’accord de confidentialité peut être unilatéral, bilatéral ou tripartite, avec une durée limitée pour une prestation bien définie ou alors élargie. Nous pouvons aller jusqu’à la signature de contrats pour la réalisation de certains travaux.
En tant que sous-traitant de travaux de recherche et développement, nous codifions en interne chacun de nos clients.
Le souci de confidentialité et de la protection des données peut aller jusqu’à l’interdiction de mentionner le nom de la marque sur des échantillons envoyés en analyses, ou la communication par des adresses électroniques ne contenant pas le nom de l’entreprise.
Les échanges de données sensibles peuvent par exemple être autorisés avec un seul interlocuteur …