Le thème de l’engagement était au cœur de la troisième édition de la Journée de la Beauté, organisée à Paris, le 25 juin par le CEW. Les entreprises cosmétiques sont attendues par les consommateurs et la société civile sur leur prises de positions sociales, éthiques ou encore environnementales. Plus encore, ces engagements pourraient même faire augmenter la valeur des sociétés comme l’a démontré Celia Friedman, Partner chez Oliver Wyman.
Dès le début de son intervention, Celia Friedman donne le ton” : “l’engagement est un beau sujet mais il est un peu flou. S’engager pour quoi ? Pour qui ? J’aime à penser que le meilleur cadre pour définir cette thématique est celui de la RSE”.
Pour définir le champ d’application de la responsabilité sociétale des entreprises, il faut avoir en tête plusieurs piliers fondamentaux :
La market place
Il s’agit de tout l’écosystème autour de l’entreprise comme la protection des données, le service après-vente, le sourcing éthique…
La qualité de vie au travail
Ce point fait aussi bien référence aux questions de santé, de bien-être et de sécurité des employés, qu’aux thématiques de diversité et d’inclusion dans l’entreprise.
Les enjeux sociétaux
De plus en plus, les consommateurs sont curieux d’en savoir plus sur les engagements des marques. Ils veulent également plus de transparence sur la composition des produits et savoir dans quelles conditions ils ont été fabriqués.
Le respect de l’environnement
L’un des piliers les plus importants : comment les entreprises s’engagent-elles en faveur de la planète ?
Cela concerne aussi bien le recyclage des déchets que la mise en place d’une chaîne de production écoresponsable ou encore le …